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Les élèves français sont heureux

La plupart des adolescents sont satisfaits de leur vie, mais certains d’entre eux sont victimes de harcèlement scolaire et certains passent un temps «excessif» sur internet selon l’OCDE dans un rapport sur le bien-être. Les jeunes Français de 15 ans sont satisfaits de leur vie même si, comme leurs camarades étrangers, certains passent un temps «excessif» sur internet s’inquiète l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) dans un rapport sur le bien-être des élèves dans les pays développés. Lors de la réalisation de l’étude Pisa sur les connaissances des élèves de 15 ans, publiée en décembre 2016, l’OCDE a aussi recueilli des données sur le bien-être de 540.000 adolescents, dévoilées ce mercredi dans un rapport. On y apprend que les jeunes Français affichent un niveau de satisfaction de vie plus élevé en moyenne que dans les autres pays, avec 7,6 sur une échelle allant de 0 à 10, la moyenne de l’OCDE étant 7,3. Seuls 7,4 % des Français se disent insatisfaits de leur vie contre 12% des élèves de l’OCDE, cette insatisfaction dépassant même les 20% en Corée et en Turquie. L’anxiété est un des principaux prédicteurs de la satisfaction de vie des élèves selon l’étude. Or les adolescents français affichent un niveau d’anxiété moindre que la moyenne: 29% d’entre eux se disent très tendus lorsqu’ils étudient, comparé à une moyenne de l’OCDE de 37%. Ces données diffèrent sensiblement de celles publiées il y a trois ans sur l’anxiété par rapport aux mathématiques, qui voyaient des niveaux élevés pour la France. Il semblerait donc qu’il y ait une spécificité propre à cette discipline en France. Dans tous les cas, des niveaux élevés d’anxiété sont plus souvent exprimés par des élèves qui perçoivent la notation comme punitive, qui ont l’impression que le professeur pense qu’ils sont moins intelligents qu’ils ne le sont vraiment, etc. 

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On profite des potes

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Seuls dans l'univers

C'est tout de même dingue, les progrès qu'a pu connaître l'informatique en quelques années à peine. Repensez un instant aux anciens simulateurs de vol, qui ne proposaient qu'une simple soupe de pixels noirs et blancs. Et comparez donc avec ceux qu'on fait de nos jours ! C'est assez incroyable ! La semaine dernière, j'ai goûté aux joies des simulateurs de vol à Lyon, et j'ai été totalement épaté par le réalisme que cela offre de nos jours. Les effets de lumière sont tout à fait saisissants. Cette évolution fulgurante m'a conduit à cogiter sur la vitesse de notre évolution. Vous avez peut-être déjà entendu la métaphore. Si l'on imagine que notre univers a seulement un an, notre planète est née vers septembre, et l'homme est apparu le 31 décembre vers 20 heures. A cette échelle, la révolution industrielle n'est apparue qu'à 23h59 et 59 secondes, soit il y a seulement une seconde. Et pourtant, l'on a durant ce temps posé les pieds sur la Lune, mais aussi fait deux guerres mondiales. Tout semble indiquer qu'à ce rythme, l'être humain ne verra pas la fin de la prochaine seconde. Et c'est probablement cette vitesse effrayante qui éclaircit le paradoxe de Fermi, au final. Celui-ci postule que s'il existait une vie ailleurs dans notre univers, cela se verrait : si la vie avait fait son apparition sur une autre planète, elle aurait dû se multiplier dans toutes les galaxies en un laps de temps très réduit. Ce n'est pas le cas. Néanmoins, à partir du moment où l'on considère notre propre évolution, on peut envisager très sérieusement l'idée selon laquelle il a existé d'autres civilisations avant la nôtre. Cependant, elles ont fait leur temps et se sont éteintes. A l'échelle du monde, l'humanité est un simple moucheron sur un pare-brise. C'était la pensée philosophique du jour. :) Sinon, j'ai adoré cette expérience virtuelle. Si vous êtes comme moi, je vous invite vraiment à essayer ce simulateur de vol. Pour en savoir plus, c'est par là que ça se passe.

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Facebook engloutira bientôt tous vos réseaux sociaux

 Facebook envisage d’effectuer des changements importants dans son fonctionnement: si le projet était validé, tous vos réseaux sociaux, y compris Instagram, YouTube et Twitter, ainsi que les informations qu’ils contiennent, seraient disponibles depuis votre compte Facebook. Quid de la protection des données personnelles?  Facebook serait en train de tester une nouvelle fonction, qui permettrait aux utilisateurs de lier directement les comptes de différents réseaux sociaux sur leur profil, y compris ceux d'Instagram, de Twitter et de YouTube, écrit le journal The Daily Express.  À en croire le quotidien, les utilisateurs du réseau social géant pourraient en l'occurrence « surfer » sur tous leurs réseaux sociaux depuis leur page Facebook et transformer celle-ci en vitrine sociale unique. Cette mise à jour a été pour la première fois révélée par le site The Next Web, dont le rédacteur Matt Navarra a repéré que son App iOS Facebook incluait désormais les comptes de divers réseaux sociaux. Par la suite, plusieurs utilisateurs de l'application ont confirmé les propos du rédacteur. Hormis Twitter et Instagram — ce dernier appartient par ailleurs à Facebook —, le compte de l'utilisateur pourrait également pointer vers Pinterest, Linkedln et Snapchat.  Bien que la fonction ne soit pas encore définitivement intégrée dans la structure de la plateforme sociale, de nombreux internautes dénoncent déjà une atteinte à la vie privée et à la protection des données personnelles, ce qui ne constituerait d'ailleurs pas un cas unique en son genre.  Pour rappel, l'application de messagerie WhatsApp avait annoncé en août dernier qu'elle modifiait sa politique de confidentialité afin de partager les données de ses utilisateurs avec sa maison mère Facebook, ce qui allait permettre un meilleur ciblage des messages publicitaires. Chez Messenger, concurrent de WhatsApp, on insiste en revanche sur le fait que les analyses sur les « bots » se limitent à des informations agrégées et anonymisées, ainsi que sur les protections offertes aux utilisateurs contre les spams d'entreprises indésirables.  Facebook doit jouer sur du velours pour ne pas voir ses utilisateurs soucieux du respect de leur vie privée décamper ailleurs.

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Politique et publicité font bon

Politique et publicité font bon

Vous avez vu le film Idiocracy ? Si vous ne le connaissez, je vous invite vraiment à le découvrir. Parce que, clairement, nous sommes en plein dedans. Dernièrement, je me suis rendu à Marseille pour un incentive durant lequel mes collègues et moi avons longuement discuté du « sans-faute » de Trump aux élections américaines. Je crois que cet évènement nous a fait à tous l'effet d'une douche froide. Heureusement, on a pu voir depuis ces élections que cet improbable président n'est pas le cinglé qu'il paraissait être depuis près d'un an. Il a juste fait oeuvre de démagogie avec des promesses provocatrices dont il ne pensait pas un mot. La preuve : depuis, il a mis la pédale douce sur tous ses sujets de prédilection. Et franchement, tant mieux ! Il est nettement plus doux : il trouve qu'Obama est un homme bien, il ne veut plus mettre Hillary Clinton en prison... C'est le jour et la nuit ! En fin de compte, l'homme pourrait bien être un président meilleur qu'il n'y paraît. Incontestablement old school, mais depuis la victoire de François Fillon ces derniers jours, j'aurais tendance à dire que nous sommes mal placés pour critiquer. Finalement, Trump ne se démarque pas tant des autres, quand on y pense. Il n'a pas fabulé plus que François Hollande qui annonçait pouvoir réduire de moitié le décrochage scolaire (véridique !) ; il n'a pas été plus acariâtre que Sarko envers ses collaborateurs (se souvenir des insultes gratinées qu'il réservait à ses « proches). Au final, Trump n'a fait qu'exagérer les faits, comme quand il vendait sa marque Trump (qui se décline en une gamme très large, allant de la casquette au produit immobilier). Et le pire, c'est qu'on ne peut lui en vouloir, car cet homme est la résultante de notre société : un monstre ayant confondu la politique et la pub, et ayant grimpé les marches du pouvoir grâce à cela. Et il n'est pas le seul à vouloir nous faire ce coup-là, je présume. Soit dit en passant, j'ai apprécié cet incentive à Marseille ; les animations proposées étaient très inhabituelles mais vraiment excellentes. D'ailleurs, je vous mets en lien l'agence qui l'a géré, pour ceux que ça intéresse.

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La bienveillance des médias face à la Russie

La bienveillance des médias face à la Russie

Le temps passe et la tonalité des médias français à l’égard la Russie change pour plus de neutralité, voire du positif. Une étude réalisée par le système d'analyse "Russie dans le monde" montre bien la tonalité des médias internationaux envers "le pays des ours" durant la deuxième semaine d'août. Selon cette étude, par rapport au début de l'année 2016, la tonalité négative des médias français a considérablement baissé, voire, au contraire, s'est inversée, ce qui veut dire, que cette tendance plutôt favorable qu'on constate déjà depuis début juin 2016, se poursuit. Sur le schéma ci-dessous, on voit que la France est loin de figurer parmi les pays ayant choisi une tonalité modérément négative qui sont marqués en orange, et surtout parmi les pays qui ont choisi un ton complètement négatif (rouge). Ainsi, l'Hexagone se retrouve "neutre" dans ce schéma (couleur jaune). L'Allemagne occupe la première place, l'Ukraine et la Pologne figurent encore en première ligne comme début juin. Ainsi, la situation ne change presque pas. Il est à noter qu'aucune édition française ne fait partie de la liste des médias étrangers les plus négatifs à l'égard de la Russie.

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Uruguay: problème de production de cannabis

Uruguay: problème de production de cannabis

La production de cannabis à usage récréatif en Uruguay, sous tutelle de l'État, ne suffira pas à couvrir la demande, a prévenu mardi le gouvernement du pays sud-américain, qui a adopté une loi pionnière de légalisation de la drogue douce. «Ce qui est certain c'est que (la production) ne couvre pas la demande qui existe théoriquement, selon les enquêtes d'opinion», ces dernières montrant «une demande beaucoup plus élevée», a déclaré à la chaîne Canal 4 le secrétaire adjoint du cabinet présidentiel, Juan Andrés Roballo. La vente via les pharmacies semble prête à démarrer : «La quantité de pharmacies ayant manifesté leur volonté de vendre de la marijuana et la capacité productive que possèdent aujourd'hui les entreprises (qui la produisent pour l'État, ndlr) sont sensiblement les mêmes», selon M. Roballo. Il s'agit du troisième volet, longtemps repoussé, de la loi polémique et unique au monde votée fin 2013 en Uruguay, dont les deux premiers - la culture de cannabis pour la consommation personnelle ou au sein d'un club - ont déjà été mis en pratique. Pour sa mise en oeuvre, le gouvernement de gauche ouvrira bientôt le registre des consommateurs de cannabis : seules les personnes enregistrées pourront acheter la drogue en pharmacie, dans la limite de 40 grammes par mois, et pour cela il faudra être Uruguayen ou résider en Uruguay depuis au moins deux ans, un dispositif qui exclut donc les touristes étrangers. Plusieurs entreprises privées, sélectionnées par appel d'offres, produisent actuellement la drogue douce sur des terrains publics surveillés par l'État, en vue de leur prochaine distribution légale. En octobre 2015, les autorités uruguayennes disaient vouloir produire six à dix tonnes de cannabis par an, tablant alors sur «un marché de 160 000 Uruguayens consommateurs fréquents ou réguliers» dans un pays de 3 millions d'habitants, avec un tarif de 1,40 dollar le gramme. Le gouvernement percevra 10% à 13% des recettes issues de la commercialisation du cannabis, auxquels s'ajoutera le prix des licences payées par les entreprises productrices. Cette loi unique au monde, qui avait suscité un fort intérêt médiatique international à son approbation, vise notamment à lutter contre le narcotrafic tout en garantissant un accès sécurisé et de qualité à cette drogue douce.
 

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Dans le siège du pilote

Dans le siège du pilote

Ce n'est pas tous les jours qu'on a l'occasion de s'asseoir sur le siège du pilote, et quand ça arrive, ça mérite bien un petit billet, non ? Cela m'est arrivé dimanche dernier. Je suis allé à Cannes pour rendre visite à ma famille, et j'en ai profité pour m'essayer au pilotage d'avion. J'ai ainsi pu piloter un Cessna 150, un avion simple à prendre en main. Et j'ai tellement savouré cette virée aérienne d'une heure que j'ai bien l'intention de rempiler prochainement. Au début, j'appréhendais un peu, car je croyais que le pilotage était une affaire délicate. Mais je me suis vite rendu compte une fois aux commandes que c'est bien plus simple que je ne le pensais. Preuve en est : il est parfaitement possible de prendre les commandes d'un avion avant même de pouvoir passer un permis voiture ! Et il y a deux raisons à ça. D'abord, piloter un avion est bien plus simple que d'apprendre à conduire. Tous les clignotants et boutons du cockpit sont intimidants à premier vue, mais en fait, pendant le vol, il faut se focaliser sur quelques-uns seulement. Et surtout, en vol, le trafic est quasi inexistant, ce qui facilite considérablement l'affaire ! Depuis cette courte (mais intense) initiation, je me demande pourquoi j'ai attendu aussi longtemps pour m'y essayer, alors que je suis attiré par les avions depuis l'enfance. La peur ? Pas vraiment. D'ailleurs, j'ai sauté le pas sans l'ombre d'une hésitation. Alors pourquoi l'ai-je fait alors que j'étais loin de chez moi ? C'est une vraie question, parce que ça se passe le plus souvent comme ça. Même lorsqu'il y a des dizaines d'activités à faire près de chez soi, c'est toujours quand on est loin de son domicile qu'on se met à vivre des expériences. C'est tout de même dément, quand on y réfléchit. J'ignore ce qui nous pousse à agir ainsi. Peut-être que quand on voyage, on favorise les activités plutôt que le matériel. En tout cas, j'ai décidé de lutter contre mon côté pépère en m'offrant aussi des activités originale de par chez moi ! Et si vous non plus vous n'avez jamais piloté, je vous mets en lien le site par lequel je suis passé pour mon initiation de pilotage d'avion à Cannes. Je n'ai qu'un mot à dire : tentez l'aventure !

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Superstition de la parole

Superstition de la parole
Un mot sur un travers national et qui s'adresse à ceux qui ont la superstition de la parole et des démonstrations du style. Sans doute, il ne faut pas en vouloir aux personnes qui goûtent une parole élégante, ou une lecture délicate. Je suis d'avis qu'on ne peut jamais trop bien dire ce que l'on a à dire. Mais il ne s'ensuit pas que les choses les mieux dites et les mieux écrites soient celles qui sont les plus apprêtées. La parole doit servir le fait et non se substituer à lui et le faire oublier à force de l'orner. Les plus grandes choses sont aussi celles qui gagnent le plus à être dites avec simplicité, parce qu'alors elles se montrent telles qu'elles sont: vous ne jetez pas sur elles le voile même transparent d'un beau discours, ni cette ombre si fatale à la vérité, qu'on appelle la vanité d'un écrivain et d'un orateur. Rien n'est fort, rien n'est persuasif comme la simplicité. Il y a des émotions sacrées, de cruelles douleurs, de grands dévouements, des enthousiasmes passionnés, qu'un regard, un geste, un cri traduisent mieux que les plus belles périodes. Ce que l'humanité possède de plus précieux dans son cœur, se manifeste le plus simplement. Pour persuader il faut être vrai et certaines vérités se comprennent mieux si elles sortent de lèvres simples, infirmes même, que si elles tombent des bouches trop exercées, ou sont proclamées à la force des poumons. Ces règles-là sont bonnes pour chacun dans la vie de tous les jours. Personne ne peut s'imaginer quel profit il retirerait pour sa vie morale, de la constante observation de ce principe: être vrai, sobre, simple dans l'expression de ses sentiments et de ses convictions, en particulier comme en public, ne jamais dépasser la mesure, traduire fidèlement ce qui est en nous, et surtout nous souvenir. C'est là le principal. Car le danger des belles paroles est qu'elles vivent d'une vie propre. Ce sont des serviteurs distingués qui ont gardé leurs titres et ne remplissent plus leurs fonctions, comme les cours royales nous en offrent l'exemple. Vous avez bien dit, vous avez bien écrit: c'est bien, il suffit.

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A bord d'un avion de chasse

A bord d'un avion de chasse

Il y a quelques jours, j'ai réalisé un vieux rêve : j'ai effectué un vol en avion de chasse. Et je peux vous dire que c'est de loin l'expérience la plus démente qu'il m'ait jamais été donné de faire ! C'était encore plus dingue et plus extraordinaire que tout ce que j'avais pu imaginer. Ca a pourtant commencé tranquillement, avec un petit vol à basse altitude qui m'a permis d'avoir des sensations de vitesse. Mais dès qu'on a entamé la partie acrobatique, je me souviens m'être dit : « ah oui, quand même ! ». Parce que ça piquait tout de même un peu. Même si je pensais m'être préparé, j'étais en fait encore loin du compte ! En fait, je crois qu'à force de dévorer des articles sur les vols en avion de chasse, j'avais fini par banaliser l'expérience, et me dire qu'au fond, il s'agissait d'un simple tour de Rollercoaster un peu « relevé ». Mais en fait, ça n'avait rien à voir. Jusqu'à preuve du contraire, aucune attraction de parc ne fait que vous pesiez soudain près de 400 kg, ou ne vous fait flotter à d'autres moments ! Aucun grand huit n'est a priori capable de vous faire risquer le voile noir ! Alors que sur un avion de chasse, le risque est suffisamment sérieux pour qu'il faille se crisper au maximum lors des phases d'accélération : tout simplement pour éviter la perte de conscience ! Et franchement, si un manège de ce genre existait vraiment, seriez-vous certain de vouloir le tester ? Je pense qu'il faut être un peu cinglé pour apprécier une expérience aussi effroyable. Durant ce vol, j'ai notamment découvert les sensations que procurent loopings, chandelles et retournements... J'avais par moments l'impression d'être tabassé par Balboa, et pourtant j'étais aux anges. Je pourrai vous raconter que j'ai encaissé sans broncher, mais en fait, je me suis senti mal dans les dernières figures. Evidemment, c'est le genre de choses qu'on n'a pas forcément envie d'entendre, mais je préfère faire preuve d'honnêteté pour ceux qui seraient intéressés par ce genre de vol : lorsque je suis descendu de l'appareil, j'avais même les jambes qui tremblaient. C'est une aventure vraiment incroyable, mais qui n'est pas pour tout le monde ! Plus d'infos sur le site spécialisé sur le vol en L-39. Suivez le lien.

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